Sortie des 14 et 15 octobre 2006 à CHERBOURG
Visite de La Cité de La Mer le 14 octobre dans l'après midi
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Nous nous sommes tous retrouvés dans le train, à la gare St-Lazare, un peu dans le brouillard mais confiants. Nous allions vers la mer et là bas le temps change rapidement.
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En route pour La Cité de La Mer nous passons sur le pont tournant.
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La Cité de la Mer
Quand nous sommes arrivés à la Cité de la Mer le temps nous semblait plus clair mais nous l’avons vite oublié en entrant dans ce haut lieu dédié à la mer. Nous avons pu y admirer le plus grand aquarium cylindrique d’Europe (10,70 m de hauteur) avec ses poissons dont la variété dépend de la profondeur à laquelle ils vivent. Chacun a pu connaître toutes les techniques de plongée, admirer différents scaphandres (une impression de vingt mille lieux sous les mers de Jules Verne) ainsi qu’une cartographie des fonds marins et les différentes méthodes pour sonder les profondeurs à l’aide de sonar.
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Entrée dans la Cité de La Mer
Les objets, les bassins, ....
Et le Redoutable avec son hélice propulsive, ses ogives et ....
Le clou de cette journée fut la visite du sous-marin « Le Redoutable », le plus grand sous-marin nucléaire visitable au monde (à ce jour). C’est avec beaucoup de curiosité et de plaisir que nous avons parcouru ses couloirs à l’aide de notre guide téléphonique.
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Et plus le temps passait et plus le ciel s’assombrissait……………. et les copains échangeaient leurs impressions et photos.
Après un repas dans un petit café de campagne très typique notre animateur est venu nous rejoindre pour nous annoncer la mauvaise nouvelle : le ciel ne serait dégagé que le dimanche midi. Il n’y avait donc plus d’espoir d’observation pour cette nuit.
Quel participant ne s’est pas levé la nuit pour inspecter le ciel ? Je crois que nous avons tous quitté notre chambre pour regarder si quelques étoiles pointaient le bout de leur nez, mais sans succès bien sûr.
Après un bon petit déjeuner, une promenade digestive sur les hauteurs de Biville, dans une légère brume, fût un plaisir pour chacun avant de prendre enfin le chemin de Ludiver pour suivre le parcours des cadrans solaires. Et là, quelle découverte. Ce fut un festival de cadrans solaires.
Ludiver
Une dizaine de cadrans solaires tous différents, tous plus phénoménaux, tous plus originaux les uns que les autres. C’est une initiation à la mesure du temps réalisée par Jean-Michel Ansel. Aucun ne correspond à un modèle connu. Le plaisir de la découverte, le plaisir des yeux et celui de nos appareils photos.
Notre Ami André J. fut très fier de nous présenter La Terre Cadran. Il a aidé Jean-Michel A. à la mise en station de ce cadran lors de la création de Ludiver.
Notre planète et la Terre Cadran tournent ensemble sur elles-mêmes. De ce fait tout au long du jour, la position apparente du Soleil sur notre planète sera exactement reproduite sur la Terre-Cadran.
Nous avons tous été enchantés et surpris de découvrir : La Méridienne qui rappelle le passage de la Méridienne dans l’Observatoire de Paris, le triptique bifilaire, le cadran multiface à styles polaires, l’année solaire, l’hémicylindre….
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Et en voici d'autres :
Ci-dessus Raymond nous explique le fonctionnement : Selon leur conception les cadrans solaires utilisent l’azimut et/ou la hauteur du soleil. Le Quadrant orienté vers l’astre nous en indique la position en degré d’arc.
Ci-dessus, à droite, la photo d’une partie des participants. Sur les dix cadrans celui-ci est le plus classique bien que de forme moderne.
Le Scaphé Grec (- 400 environ) est un hémisphère creux qui permet de visualiser le parcours apparent du Soleil chaque jour d’un solstice à l’autre.
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Puis l’après-midi ce fut l’Univers de Ludiver. Le premier instrument remarquable dès notre entrée dans Ludiver fut le Nocturlabe. Les nocturlabes étaient utilisés par les marins pour déterminer l’heure lorsqu’ils étaient en mer, en se guidant sur la position des étoiles de la Grande ou de la Petite Ourse. C’est un cercle de 365 jours dont le diamètre est de 209,13 mm. (A voir également sur le site Internet du Musée des Sciences et de la technologie du Canada)
Puis ce fut la visite de Ludiver avec son espace dédié à la Terre où celle-ci coupée en deux, explique les différentes couches qui la compose. L’espace Météo (Ô combien nécessaire pour les observations sur le site), Le sidérostat qui est un télescope transmettant l’image de la surface solaire à l’intérieur de la pièce (voir photo ci-dessous à droite). Le soleil est représenté par ce rond blanc d’environ 600 mm de diamètre. Nous n’avons pas eu la chance de voir des taches solaires mais nous avons profité des nuages qui passaient devant lui.
Pour notre plus grand plaisir Didier non seulement nous a animé le planétarium (il nous a précisé où se plaçait la Comète) mais il nous a présenté le T600, objet de tous nos regrets nocturnes.
Nous reviendrons bien sûr car nous avons été enchantés par cette visite et nous espérons que pour notre prochain voyage le ciel sera plus clair .
Marie France P.
Association des Cheminots Astronomes
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